Le public contenait, quasi à parité, des mangeur.se.s et des futur.e.s paysan.ne.s. Et c’était parfait puisque l’idée était de montrer que pour nourrir Paris, il fallait des gens qui veulent manger local, et des gens qui veulent cultiver pas loin. Deux porteur.se.s de projet ont témoigné : Annie, infirmière de formation engagée dans des missions humanitaires, devenue artisane boulangère, en couveuse à Toussacq, et Stéphane, informaticien pendant seize ans, devenu maraîcher sur sol vivant, sur le point de s’installer en collectif en Seine et Marne.

Les questions ont fusé à partir de ces deux récits sur les conditions d’installation et d’accompagnement, sur les possibilités d’engagement de ceux et celles qui mangent, et les conditions d’accessibilité à une alimentation de qualité. L’envie est là, les outils aussi, y a plus qu’à !

On s’est quitté regonflé.e.s d’énergie et de vitalité ! Merci !

Par Maud, administratrice du Réseau